Elles s’appellent Lucia, Magali, Hayley, Judy, Sahana, Rafaella et Kirsten. Elles sont sept femmes de tout âge, toute classe sociale et vivant sur des fuseaux horaires différents. Pourtant pendant vingt-quatre le destin de ces sept femmes et d’une ours lune vont se rejoindre.
Alors que le monde entier est confiné, ces femmes continuent de se battre pour leur famille, leurs valeurs, la planète, leurs droits et leur survie.
Il y a celles qui sont « nécessaires et héroïnes », celles qui respectent les règles sanitaires et s’occupent de leur famille et celles que cette situation mette dans un environnement contraignant et moins sécurisé.
Elles vont se relier par leurs actions, leur courage, leur détermination.
Elles sont belles et fortes.
Elles ont leurs faiblesses et leurs secrets. Mais ensemble, elles sont prêtes à tout.
Une histoire passionnante et bouleversante.
Des parcours de femmes qui ne s’oublient pas. Des liens puissants entre ces femmes qui se lient à travers le monde entier.
Un roman qui fait réfléchir sur la place des femmes et des animaux sur notre planète. Une histoire qui rappelle que nous ne sommes malheureusement pas tous égaux et qu’il y a encore beaucoup d’injustice et de violences faites aux femmes.
Des mots puissants et forts pour raconter le parcours de ces femmes à la fois émouvant et qui donne en même temps envie de se battre. Une plume impressionnante et touchante pour aborder chaque sujet avec vérité et sincérité et nous rappeler que les droits sont fragiles.
Beaucoup de justesse, de douceur et de force dans les mots choisis pour raconter ces femmes qui sont nous toutes.
Une magnifique fresque féminine .
Les passages du livre qui m’ont touché :
« Elles se sont comprises. Elles n’utilisent pas de mots détournés pour se définir, contrairement à la société qui pense qu’en n’en prononçant pas certains, l’intolérance va miraculeusement disparaître. »
« Les mains, ça en dit long. La façon dont on les envisage est souvent significative. Il y a des mains qui inspirent le respect, d’autres qui n’inspirent rien. Et puis il y a les mains qui suscitent du désir. Les mains que l’on s’imagine saisir. Les mains qui racontent une histoire pas encore écrite. »
« Saisir la rareté d’un instant, voir s’ouvrir un chemin vers ce qui semblait inaccessible hier, découvrir ce qui nous était inconnu, c’est s’enivrer d’un sentiment qu’on appelle couramment le bonheur. »
Et vous, quel passage vous a parlé ?
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